DAPHNé BüRKI TOMBE LA CHEMISE EN DIRECT : "JE ME SUIS DIT TANT QU'à FAIRE", L'ANIMATRICE RéPOND SES DéTRACTEURS AUX JO

Yann Barthès a reçu le groupe Indochine sur le plateau de son talkshow Quotidien le vendredi 6 septembre, à l'occasion de la sortie de son nouvel album Babel le lendemain. Nicola Sirkis et sa bande ont en profité pour dévoiler plusieurs extraits de ce disque très attendu et qu'ils défendront en live dès l'année prochaine, une tournée vient d'être annoncée en parallèle. D'autres stars se sont succédé dans l'émission, parmi lesquelles Daphné Bürki qui est venue pour faire son bilan des des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 pour lesquels elle s'est pleinement investie. Avec le metteur en scène Thomas Jolly, l'animatrice et icône de mode a travaillé sur les différentes cérémonies d'ouverture et de fermeture qui ont chacune à leur tour fait sensation. Daphné Bürki a été sollicitée pour la coordination des costumes de tous les figurants et a accepté de commenter l'ensemble des festivités diffusées sur France 2.

Il a d'ailleurs été question de ses commentaires qui ont été jugés sévèrement par de nombreux téléspectateurs, certains d'entre lui reprochant de répéter toujours la même chose au sujet de son implication. "C'est de l'autocongratulation permanente, du mielleux surjoué jusqu'à l'overdose…" ou "Est-ce que vous avez compris que Daphné Bürki a travaillé sur les cérémonies depuis des mois ? Parce que c'est pas clair, elle devrait en parler un peu plus", peut-on lire notamment sur X (ex-Twitter), alors qu'effectivement Daphné Bürki a suggéré à plusieurs reprises qu'ils avaient conduit ce projet dans le plus grand secret pendant deux ans.

Attentive à ce qu'on peut dire sur elle, et peut-être informée du fait que même Pascal Praud l'a étrillée à son tour sur CNews, la maman de Hedda et Suzanne s'est expliquée. "J'ai donné quelques interviews où j'ai expliqué que pendant deux ans j'ai vécu en secret, j'ai travaillé pour Thomas Jolly et qu'il n'y avait que mes enfants qui étaient au courant", a-t-elle rappelé, avant d'admettre : "Je crois que c'est devenu un gimmick très récurrent". Dans la foulée, l'animatrice s'est levée de son siège pour déboutonner sa chemise en plein direct sur TMC, et ainsi laisser entrevoir un t-shirt confectionné pour l'occasion. "Donc je me suis dit tant qu’à faire, je me suis créé mon costume", a-t-elle déclaré dans le même temps, pour dévoiler les inscriptions qu'elle avait décidé de faire apposer dessus.

Le message est limpide et intervient comme une réponse à peine voilée à ses détracteurs : "Ça fait 2 ans qu’on travaille en secret avec Thomas Jolly", pouvait-on lire alors. Mais ce n'est pas tout ! Daphné Bürki a sans doute cherché à faire taire les mauvaises langues et malicieusement elle a annoncé que ce t-shirt serait commercialisé au profit du Secours populaire. En effet, les recettes générées par les ventes doivent être reversées à l'association qui vient en aide aux personnes défavorisées. "Si jamais vous le voulez, vous m’écrivez sur mon compte Instagram", a-t-elle conclu. Le message est passé !

Il n'est pas uniquement question du t-shirt de Daphné Bürki cette semaine. Il y a quelques jours, c'est la veste qu'elle portait pour commenter l'arrivée de la flamme olympique dans la capitale le 14 juillet, sur le plateau de France 2, qui fait parler d'elle. En effet, sa créatrice a accordé une interview à Ouest France pour faire part de son succès soudain après que les téléspectateurs se sont projetés en la découvrant. Cassandre Lemeilleur est une Normande de 32 ans dont le nom pourrait prochainement gagner en notoriété grâce à cette veste conçue à partir de 800 boutons recyclés. Tout a commencé après que la styliste de Daphné Bürki l'a contactée après son passage aux Fashion Week de Paris et de Milan. "Ma veste aux boutons dorés l'intéressait", s'est-elle remémorée.

Aussitôt on lui a passé commande. "Je me suis dit que pour mieux coller aux couleurs des LGBT j'allais lui faire une veste à boutons, mais cette fois avec des couleurs. En rentrant j'ai donc travaillé quatre jours, quasiment 24 heures sur 24, et j'ai réalisé cette veste qui a près de 1 300 boutons", a-t-elle raconté ensuite, en imaginant que l'animatrice porterait cette pièce pour l'émission de télévision Drag Race France. Mais, finalement, c'est pour les festivités entourant les JO qu'elle l'a mise. Depuis, les demandes arrivent de partout ! "Là j'ai une commande pour les États-Unis et j'en ai eu de Belgique, d'Allemagne et du Japon", s'est-elle enfin réjouie.

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